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Peintre de l’intemporel, DARAN façonne son œuvre depuis plus de quarante cinq ans.

La femme est au cœur de sa création, inspiratrices de visions, d’idées de conquêtes, évanescentes, détachées du reste du monde. Une féminité qui se révèle par l’élégance des courbes, la finesse du trait, la grâce et la transparence des corps drapés ou dénudés.

Nulle audace disgracieuse, simplement la traduction rapportée de la beauté chantée par les poètes.

Aujourd’hui , cet amoureux inconditionnel de l’Italie, de la Toscane, nous peint des paysages Toscans.

Le paysage n’existe pas en soi, c’est le spectateur qui l’invente. C’est dans le regard de celui-ci que s’effectue la transformation d’un espace naturel en paysage en fonction de l’interprétation culturelle qu’il en fait. Au 18ème siècle en Italie apparaît la veduta, paysage fidèle aux lieux, vue presque topographique, qui s’intéresse surtout aux villes et aux architectures et peu aux personnages ; C’est aussi l’époque qui voit naître la question du sublime qui se mêle étroitement au paysage. « Tout ce qui étonne l’âme (…) conduit au sublime » exprime Diderot : ainsi les peintres transforment-ils le paysage en lieu d’expression d’un sentiment intérieur, d’un état d’âme…