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Né au début des années 90 dans une des familles biparentales de la Marne 

Manat s’intéresse dès son plus jeune âge aux ambiances sonores et aux percussions brésiliennes.
Il monte son premier groupe de Black Metal (Extreme Daniel Radcliffe Band) à l’âge de 15 ans et obtient dans la foulée son diplôme du conservatoire de Reims, spécialité batterie.
Le groupe connut un certain succès grâce des performances énergiques sur scène, et, pendant 10 ans il parcourra la France, courant les bars undergrounds et les festivals nationaux.
Mais à la suite d’un malaise cardio-vasculaire provoqué par l’absorption d’une grande quantité d’aspirine, Manat décide de tourner définitivement la page « Rock’n Roll » de sa vie.

Il change définitivement de rythme de vie et loue un atelier dans l’ouest de Montpellier pour se consacrer entièrement à sa nouvelle passion créative, la peinture.
Véritable choc émotionnel il décidera d’en faire son métier en autodidacte pur.
Manat vit et travaille toujours dans le sud de la France avec cette lumière si particulière et tant appréciée des artistes peintres.
Son œuvre rencontre un franc succès, reconnaissable à ses portraits de singes humanisés sur des fonds abstraits, abordant les thématiques rock/tattoos de sa jeunesse, et d’autres univers plus classiques sur divers supports.
La précision et la finesse du trait s’expliquent principalement par ses pinceaux, fabriqués sur mesure en poils de Shih-tzu.

 

Quand on lui pose la question: « Est ce que la sémantique de votre travail s’émancipe constamment d’une analyse académique, voir d’un rejet primordial de la limite qui sous-tend votre œuvre? »
Il répond « Oui » en toute simplicité, car c’est un homme simple avant tout.