FRANCOIS VANDENBERGHE
Van den berghe ou encore quelquefois Vandenberghe dont le nom civil est François Vandenberghe, est né en 1951 dans une petite ville d’Eure et Loir en France.
On peint comme on sculpte. Pour étonner, pour dire parfois ou trop souvent pour décorer… D’autres artistes empruntent des chemins de traverse et s’éloignent des voies évidentes. Pour François VANDENBERGHE, les chemins sont en fait des pistes ensablées, celles-là même où pendant 27 ans le sculpteur a croisé la route des éléphants.
La rencontre, énorme bien sûr, a été un choc émotionnel intense. Et chacune de ses sculptures se doit de livrer cette force intacte, dans toute sa pureté. De New York à Singapour, l’homme voyage et expose ses éléphants de bronze au réalisme saisissant. Comme un manifeste, une croisade, une marche engagée… Il est un sculpteur témoin. Il façonne pour dénoncer, il compose pour se faire l’interprète des pachydermes. Une phrase revient alors, comme un leitmotiv : « laissez-nous vivre ».
Toujours dans cette quête d’empreinte de vérité, François nous informe sur ces craintes, voir disparaître un jour ce mammifère de notre planète…Une collection particulière , nouvelle que la « collection 531 951 » car elle sera le témoin de cette espèce menacée . D’après la Cites il n’ y aurait plus que 531 951 éléphants sur terre à ce jour. A travers un choix subtils d’œuvres saisissantes et maitresses tels : « Le poids de L’Ivoire » « Napoléon » « Vous avez reçu un message » François VANDENBERGHE se fait écho du désastre… Une nouvelle série de petits éléphanteaux et un rhinocéros saisissant à découvrir lors de l’exposition de décembre…